Le Spleen, maladie
psychique commune aux gens qui ne font rien…
La gastronomie fine, on
s’en souvient par la note, par la discussion qui suit le repas…
Concernant les
étudiants : Un « tourisme de savoir », il faut le savoir.
Le maquis des chiffres.
A propos du roman de
G. Rodenbach, Bruges la morte : Quand on lit un bouquin comme çà, il n’y a
plus qu’à se flinguer !
La stag party devient un
produit touristique véritable et consiste à aller dans un vrai bordel à
Prague.
A propos du syndrome de
Stendhal :
C’est quand on a des
bouffées délirantes qu’on vous amène chez les psychiatres.
Le syndrome de
Paris, réservé aux Japonais…
Une clientèle à
Sarajevo, juste après le cessez-le-feu, mais pas pour participer, ils ne
donnent pas de coup de poing et ne manient pas la mitraillette.
En Antarctique : On
compte la population de manchots du coin.
La Bruxellisation, c’est
faire table rase du patrimoine hérité.
En général ce sont des
cobras + ou – abrutis par la musique (c’est sourd un serpent).
Le taxi n’est pas cher,
du moins quand on est un habitant de Marrakech.
Du béton et de la tôle :
çà, c’est un hôtel 4 étoiles.
Les trous du paysages
urbain se remplissent.
Plus on s’éloigne du
centre du port, plus la taille des yachts augmente.
On a une architecture
assez kitch.
A propos de Benidorm, je
crois : Y a ceux qui poussent des hauts cris, y a ceux qui y vont.
Ce sont des succès
ambigus.
Le pèlerinage à la
Mecque est un parcours à la fois personnel et collectif.
A Dubaï, la plupart des
femmes photographiées sont même des blondes !
Au Yemen, la pratique de
l’enlèvement étant culturelle…
C’est une réaction
classique : quand il y a des endroits interdits, y a toujours des gens qui
veulent y aller.
La Terre est grande et
finalement pas si grande que çà.
A propos des
robinsonades, des îles hôtels : Passer une semaine là-bas, dans ces endroits
confinés, il faut avoir une grande vie intérieure. Et puis pour partir, il
faut attendre le bateau qui va vous amener à l’aéroport…
Isola 2000, aujourd’hui
çà va vous paraître rétro…
Les Sables d’Or, une
plage qui n’était pas si dorée que çà.
Le nombre de séances (le
temps) nous est compté.
Nous sommes en France,
le pays où l’Etat a toujours un rôle important, il n’y a pas de raison pour
qu’il n’en ait pas dans le tourisme.
A propos de
l’inaccessibilité des domaines skiables : ces gens là montaient à peau de
phoque.
Un domaine skiable, vous
savez, c’est de la pente.
C’est une sorte de grand
jeu de Monopoly, à l’échelle des Alpes françaises.
Une marqueterie de
propriétés individuelles, pour un promoteur, c’était un cauchemar.