M.Chorin

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M. Vaisseau, qui n’était pas capitaine...

Si vous mettez une baffe à votre employeur, faites-le après vos congés, c’est une faute lourde.

Y a des tas de trucs rigolos en droit du travail.

Qu’est-ce qu’un coq peut faire d’autre que cocoriquer ?

C’est des questions d’argent.

Je vais citer Coluche : « Plus blanc que blanc. »

Et bien là, c’est « plus nul que nul », nul de plein droit.

Le salarié a eu de la chance, il est arrivé au bon moment.

L’abus, c’est abusif.

Le droit est le droit, dura lex sed lex.

Victime d’un ostracisme (mésentente avec les salariés).

Est-ce qu’on peut licencier quelqu’un pour son bien ?

Objectiver la situation (néologisme assumé).

Surtout il ne faut jamais démissionner, car vous recevez zéro indemnités.

Mettez une baffe à votre chef, là au moins vous toucherez le chômage.

A une étudiante : Ma dénonciation était erronée mais j’étais de bonne foi.

Sans les lunettes (les siennes), vous avez une certaine ressemblance.

Notez bien le terme « insubordination », là c’est les révoltés du Bounty !

On entend tout dans les prétoires :

D’un côté, l’employeur va dire « çà perturbe mon entreprise », de l’autre, le salarié « ma mère est mourante », je rigole à peine !

Y a rien de pire qu’une boîte publique qui passe au privé (France Telecom).

C’est un cas caricatural.

Nous sommes dans un monde qui est ce qui est.

On ne peut obliger l’employeur à suppléer les carences de l’Education Nationale.

Quelqu’un qui a été licencié, çà c’est banal…

Ce qui est privilégié dans le Code du Travail, c’est l’emploi, pas votre salaire.

L’abus de droit, c’est ce qui reste quand il n’y a plus rien.

La précarité dans l’Administration, c’est pire que la précarité dans le droit privé.